Votre partenaire possède des tatouages ? Il est préférable d’éviter qu’il les exhibe sur les plages cet été si vous voulez vous assurer de sa fidélité ! D’après une nouvelle étude réalisée par Gleeden, le leader européen de la rencontre extra-conjugale, les femmes mariées infidèles seraient plus attirées par les hommes qui sont tatoués !
En effet, après avoir interrogé plus de 5000 femmes mariées ou en couple inscrites sur Gleeden, elles sont une grande majorité (55%) à admettre qu’elles trouvent les hommes tatoués plus attirants que ceux qui n’arborent pas cet art cutané. 27% des répondantes sont néanmoins plus prudentes et estiment que cela va dépendre du tatouage en question.
Plus c’est apparent, plus c’est attirant !
Lorsqu’on demande aux femmes mariées sur quelle(s) zone(s) corporelle(s) elles trouvent que les tatouages sont les plus séduisants, ce sont les parties du corps les plus visibles qui remportent le plus de succès. Ainsi, plus de 8 femmes sur 10 (81%) déclarent que ce sont les tatouages sur les bras qui les attirent le plus, suivis par les tatouages XXL recouvrant une grande partie du corps pour 73% d’entre elles ainsi que les tatouages sur le visage ou le cou pour un peu moins d’un tiers d’entre elles (65%).
A contrario, ce sont les parties du corps les moins voyantes qui sont les moins plébiscitées par les femmes infidèles : seules 32% se disent attirées par des tatouages au niveau des poignets ou sur les doigts, 14% aiment les tatouages dissimulés dans la bouche et moins d’une femme sur dix (9%) se dit séduites par l’idée d’un tatouage se trouvant sur les organes génitaux.
Le fantasme du « bad boy »
Lorsqu’on demande aux femmes mariées les raisons de cet attrait pour les tatouages, elles sont plus des deux tiers (64%) à le justifier par le fantasme du « bad boy ». 58% considèrent que les hommes tatoués sont plus virils et plus de la moitié (52%) y associent un mode de vie plus spontané et dangereux.
Solène Paillet, directrice de la communication de Gleeden analyse ces résultats : « Les femmes mariées à la recherche d’aventures extra-conjugales ont tendance à associer les personnes tatouées à des personnalités transgressives, anti-conventionnelles et plus spontanées. Historiquement, le tatouage était utilisé comme un signe identitaire dans le milieu carcéral et était interdit par la religion. Bien que cet art soit aujourd’hui beaucoup plus populaire et ne constitue plus une forme de marginalisation, il reste cependant dans l’imaginaire collectif féminin associé à une forme de non-conformisme et de liberté. »
Elle continue : « Les femmes mariées à la recherche d’aventures extra-conjugales sont en quête de nouveauté, d’excitation et de frissons. Et elles sont souvent attirées par l’opposé de ce qu’elles ont déjà à la maison. D’ailleurs, plus d’un tiers d’entre elles (36%) justifient cet attrait pour les tatouages par les différences existantes avec leur partenaire actuel. »
Pour finir : « Le fantasme du mauvais garçon, bien que cliché est pourtant toujours d’actualité auprès des femmes mariées. Souvent, elles se sont mises en couple alors qu’elles étaient encore très jeunes et n’ont pas forcément eu l’occasion d’assouvir tous leurs fantasmes, notamment celui de fréquenter un « bad boy ». De plus, la personnalité volage ne souhaitant pas se poser associée aux hommes tatoués attise leur intérêt pour près d’un quart des répondantes (23%). »
*Enquête en ligne sur www.gleeden.com réalisée du 01 au 10 juillet 2022 auprès de 5368 femmes hétérosexuelles mariées ou en couple membres de la communauté Gleeden en France, Belgique et Suisse.
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