Journée internationale de l’amitié

deux femmes à une table d'un café se disent un secret pour représenter l'étude sur l'amitié réalisée par Gleeden

Les Françaises ont du mal à se confier sur leur sexualité, même à leur meilleure amie !

A l’occasion de la Journée internationale de l’amitié qui aura lieu ce jeudi 30 juillet, Gleeden, le leader de la rencontre extra-conjugale en Europe, dévoile de nouvelles données exclusives tirées de son Observatoire Européen de l’Infidélité, réalisé en collaboration avec l’IFOP. 

Problèmes sexuels & infidélité : des sujets difficiles à aborder, même avec sa meilleure amie !

Peut-on vraiment tout dire à sa meilleure amie ? A en croire les résultats du dernier Observatoire de l’Infidélité réalisé par l’IFOP pour Gleeden auprès d’un échantillon national représentatif 1 000 Françaises, la réponse est clairement non !  

63% des répondantes admettent qu’il serait difficile de parler de ses problèmes sexuels avec sa meilleure amie ou de ses aventures extraconjugales, qu’elles soient exceptionnelles ou de longue durée.  34% avouent même que l’infidélité serait un sujet très difficile à aborder contrairement à un problème d’argent (15%), une dépression (14%), une maladie (12%) ou encore un licenciement (8%).

Les Françaises se confient moins sur leur sexualité que les Allemandes, les Espagnoles et les Italiennes !

Souvent perçues comme plus ouvertes pour parler de sexualité par rapport à leurs consœurs européennes, les femmes françaises sont pourtant celles qui osent le moins (tout comme les Anglaises) se confier à leur meilleure amie lorsqu’elles rencontrent des problèmes sexuels avec leur conjoint. 

En effet, d’après cette enquête qui a également été réalisée en Allemagne, en Italie, en Espagne et au Royaume-Uni, les Françaises et les Anglaises sont 63% à admettre qu’il serait difficile de parler de ses problèmes sexuels avec sa meilleure amie, contre 59% en Italie et seulement la moitié (50%) en Allemagne. Les femmes Espagnoles sont au contraire les plus ouvertes pour aborder ce type de sujet privé (48%).

En ce qui concerne la question taboue de l’infidélité, qu’il soit question d’une incartade extraconjugale exceptionnelle ou d’une aventure de longue durée, ce sont les Anglaises qui osent le moins en parler (68%) avec leur meilleure amie. Les Allemandes et les Espagnoles sont quant à elles, les Européennes les plus libérées pour en parler.

Cet article pourrait aussi vous intéresser : Observatoire européen de l’infidélité

Quitter la version mobile