Avec qui les femmes mariées auraient-elles une aventure ?
A l’occasion de la Fête des secrétaires, Gleeden.com a mené une enquête* exclusive auprès de ses membres féminins et masculins, pour savoir quel était l’objet de leurs fantasmes au travail. Rêvent-ils plutôt d’une aventure avec leur patron, leur collègue ou leur stagiaire ? Et dans quelle pièce de leur lieu de travail aimeraient-ils assouvir ce fantasme ?
Le stagiaire et le patron : les deux fantasmes par excellence pour les femmes mariées
78% des femmes mariées déclarent fantasmer sur leur supérieur hiérarchique. L’assurance qu’il dégage, les projets qu’il gère avec rigueur et son charisme font de lui le fantasme n°1 des membres féminins de Gleeden.com ! Plus surprenant, le stagiaire arrive en seconde position de ce classement : 62% d’entre elles ne diraient pas non à une escapade infidèle avec le stagiaire de leur entreprise ! Les relations de pouvoir stimuleraient-elles les envies coquines des femmes mariées ?
La secrétaire et la collègue font fantasmer les hommes mariés
Les fantasmes des hommes mariés ne seraient-ils pas un peu clichés ? Toujours est-il que la secrétaire et la collègue de bureau alimentent les pensées les plus coquines des membres masculins de Gleeden.com, à 61% et 52% ! L’intérimaire fait également l’objet de fantasmes des femmes et des hommes mariés (à 25% et 39%) : de passage dans l’entreprise pour quelques semaines ou quelques mois, n’est-il/elle pas la personne parfaite avec qui avoir une aventure discrète et temporaire ? Contrairement aux femmes interrogées, les hommes ne semblent pas vraiment intéressés par leur stagiaire, qui arrive en dernière position de ce classement juste derrière le fantasme du supérieur hiérarchique.
La salle de réunion : le lieu préféré des infidèles pour une aventure au bureau
Maïa Mazaurette, sexperte Gleeden.com et chroniqueuse, analyse ces résultats :
« Côté fantasmes, les femmes ne font pas dans la demi-mesure : au bureau, elles craqueraient soit pour le patron, soit pour le stagiaire – soit tout en haut de la hiérarchie, soit tout en bas. » Elle poursuit : « Ces résultats semblent contradictoires, ils sont au contraire parfaitement cohérents. Outre les évidentes questions de pouvoir, on sait que le désir se nourrit de la distance : en choisissant des profils soit inaccessibles, soit difficiles d’accès, on augmente cette distance psychologique. »
Elle conclut : « Donc on pimente encore plus l’idée du passage à l’acte. Et puisqu’on parle de fantasmes, pourquoi être raisonnables ? Ce que révèle cette étude, c’est que les femmes ne transigent pas avec leur imaginaire. Quitte à se faire plaisir, autant se permettre des folies ! »
* Sondage en ligne Gleeden.com mené du 5 au 12 avril 2015 sur 10 643 membres masculins et 10 387 membres féminins en Europe.